Conseil du 3 novembre 2014 – résumé de la période de questions

Conseil du 3 novembre 2014 – résumé de la période de questions

Pour ceux et celles qui préfèrent un résumé plutôt que de visionner le Conseil en direct, en voici un préparé par Mariclaude Ouimet, qui couvre la période de questions. Les minutes apparaissant au début de chaque question réfèrent à la vidéo du Conseil en direct pour référence.

Assistance : 42 personnes. Durée : 1hre 51min 10sec.

 

Q1 (19min) : COOP Le Suroit. L’intervenant annonce que l’immeuble de leur coop n’aurait plus la forme d’un ‘’U’’ mais bien plutôt d’un rectangle afin de permettre une zone tampon avec l’édifice du 950 Champagneur. Les membres de la coop ayant besoin de l’accord des élues avant d’engager des frais supplémentaires pour la refonte des plans, l’intervenant veut savoir s’ils peuvent compter sur l’appui de celles-ci.

R : La conseillère Cardyn affirme que si les dimensions proposées correspondent plus à ce qui est acceptable dans l’espace dont on parle, il est certain que son appui est envisageable mais qu’il reste encore bien des questionnements.

R : La conseillère Gremaud réaffirme son accord pour une coop mais considère qu’une rencontre avec la ville centre est nécessaire pour finaliser certains détails. Elle ajoute que les autres conseillères et elle-même font tout ce qui est possible pour que ce dossier avance.

R : La conseillère Forget assure le citoyen de sa pleine collaboration en regard des priorités municipales et considère que ce dossier aurait toujours du être traité par l’arrondissement et non par la ville-centre.

R : ‘’ Pour moi la réponse est oui ‘’ dixit la conseillère Pollak.

R : La mairesse Cinq-Mars pense que ce dossier devrait aboutir éventuellement et souhaite que tout le monde soit heureux dans la coop et les voisins autour aussi.

(N.D.L.R. La mairesse Cinq-Mars est la seule à ne pas avoir répondu à la question du citoyen)

 

Q2 (24min 20sec) : Violence et intimidation. L’intervenante témoigne d’un événement de violence et d’intimidation dont elle a été victime au CCI le 29 octobre lors de la consultation publique sur la fête des cabanes. (article dans l’Express Outremont article dans La Presse) Après avoir donné son opinion, elle est sortie de la salle et a été interceptée par une journaliste de CTV qui lui a demandé de participer à son reportage télévisé. Pendant l’entrevue, un hassidim aurait fortement bousculé la citoyenne et aurait tenté de stopper la journaliste prétextant que le reportage était biaisé. La sécurité publique serait intervenue pour éloigner l’individu et permettre la suite de l’entrevue. La citoyenne affirme qu’à sa sortie du CCI, elle aurait été intimidée verbalement par un autre hassidim. Elle demande ce que la mairesse a l’intention de faire pour que les citoyens jouissent de leur droit d’expression démocratique sans agression et sans intimidation.

R : La mairesse Cinq-Mars répond que si un citoyen lui dit qu’il a été bousculé et a donc été victime d’un geste violent, elle lui répond d’aller porter plainte à la police tout simplement. Elle ajoute qu’elle ne peut pas régler ça rétroactivement.

(N.D.L.R. La mairesse Cinq-Mars, nullement scandalisée, a pris bien soin de ne pas condamner ces gestes d’intimidation envers une citoyenne)

Q2 : La citoyenne rétorque que ce n’est pas un comportement à avoir lors d’une consultation publique et que le tout a été filmé.

R : La mairesse Cinq-Mars répond que ca lui ferait plaisir de visionner le film et ajoute que dans son programme électoral, elle préconisait un comité intercommunautaire pour un meilleur dialogue entre les communautés mais que les autres élues n’en voulaient pas.

(N.D.L.R. Une fois de plus, la mairesse Cinq-Mars balaie le problème dans la cour des citoyens en affirmant que c’est un manque de communication entre les deux communautés).

Q2 : La citoyenne rétorque qu’elle refuse l’intimidation et qu’elle se rendra légalement aussi loin qu’il le faudra pour faire respecter son droit d’expression démocratique.

R : La mairesse Cinq-Mars répond qu’elle a géré la salle pendant la consultation et non pas l’extérieur de la salle et qu’elle déplore ce qui s’est passé.

R : La conseillère Pollak affirme ne pas être d’accord avec ce que la citoyenne a vécu et affirme que l’arrondissement a fait son possible en postant plusieurs agents de la sécurité publique.

Q2 : La citoyenne informe que la sécurité publique a été obligée d’intervenir et que par ces gestes d’intimidation, les agresseurs veulent établir une relation de pouvoir.

R : La conseillère Forget confirme que malheureusement, ce ne serait pas le 1er cas de violence ou d’intimidation dans Outremont lié à des témoignages publics et qu’il ne faut pas baisser les yeux devant ces événements. Elle ajoute que la citoyenne a été très courageuse de venir au micro pour en parler. La conseillère ajoute, à l’intention de la mairesse, qu’il ne suffit pas de référer les citoyens à la police mais qu’en tant qu’élues, elles doivent dénoncer ces actes. La conseillère Forget espère que cet événement restera un cas isolé.

 

Q3 (34min 55sec) : Dépôt d’une pétition. Le citoyen mentionne que pendant la dernière campagne électorale, il a été souvent question de fusionner certains arrondissements afin de diminuer le nombre d’élus et qu’Outremont était menacée de disparaître. L’intervenant dit avoir formé à l’époque un mouvement citoyens Reprenons Outremont et remet aux élues une pétition de 1,008 signatures.

(N.D.L.R. Il s’agit d’une pétition qui a circulé avant les élections municipales de novembre 2013)

 

Q4 (36min 20sec) Consultation publique sur la règlementation des cabanes. La citoyenne remercie la mairesse Cinq-Mars pour la façon dont elle a géré la salle car souvent le climat était plutôt houleux. Elle précise qu’elle déplore l’intimidation dont une citoyenne a été victime et accorde son appui à cette dame. L’intervenante dit avoir été choquée par le nombre de personnes habitant à l’extérieur de l’arrondissement et qui sont venues faire la morale aux Outremontais. Elle demande pourquoi ces gens ont eu un droit de parole concernant un débat qui touche particulièrement Outremont.

R : La mairesse Cinq-Mars répond que les arrondissements forment une seule ville et qu’en conséquences, tous les montréalais ont un droit de parole.

R : La conseillère Pollack mentionne que l’avis de convocation pour cette consultation faisait état des arrondissements limitrophes et  considère qu’il est important de voir ce qui se fait ailleurs. Elle ajoute que le niveau du débat était élevé dû à la présence des gens extérieurs à Outremont.

Q4 : La citoyenne persiste à dire que lorsqu’il s’agit d’un débat particulier et délicat, il vaut mieux le discuter entre gens personnellement concernés et juge que les interventions extérieures ont, au contraire, envenimées le débat plutôt que de le faire avancer.

Q5 (40min 55sec) : Installation d’antennes de télécommunication Telus dans le clocher de l’église arménienne (Stuart/Bernard). Le citoyen est inquiet car pour que les ondes de ces antennes transpercent l’épaisseur des vieilles pierres pour se rendre aux clients, c’est la preuve que ces ondes dégagent une force incroyable. Les résidents du secteur sont contre cette installation car ils seront victimes des effets néfastes. L’intervenant demande aux élues de voter en défaveur de ce projet et si certaines votent en faveur, peuvent-elles expliquer pourquoi.

R : La mairesse Cinq-Mars informe que c’est au moment du vote que les élues peuvent s’expliquer. Elle ajoute qu’il pourrait y avoir une possibilité de consultation publique sur ce sujet.

Q5 : Le citoyen approuve l’idée de la consultation qui aurait pour but, entre autres, d’informer les résidents sur les impacts et les dangers de ces antennes.

R : La conseillère Gremaud dit que si ce dossier n’a pas encore été voté, c’est parce que élues continuent de s’informer et qu’elles ont des inquiétudes pour la santé des résidents riverains.

(N.D.L.R. Le sujet a été retiré au moment du vote.)

 

Q6 (47min 25sec) : La fête des cabanes. L’intervenante est pour la solution du ‘’7 jours avant, 7 jours après’’, contrairement au projet endossé par le Conseil en première adoption, soit 3 jours pour la construction, 9 jours de fête, 3 jours pour le démantèlement. Elle veut connaître les prochaines étapes suite à la consultation publique.

R : Normand Proulx, directeur d’arrondissement, dit qu’il doit y avoir une seconde adoption du projet de règlement au conseil d’arrondissement de décembre.

Q6 : L’intervenante mentionne que les sorcières, squelettes et autres décorations morbides d’Halloween ne sont pas très attrayants, qu’elles donnent une image négative aux enfants et qu’elles peuvent entraîner des cauchemars. Elle affirme qu’étant fort tolérante, elle n’a jamais porté plainte et qu’elle tolère aussi les décorations de Noel. Elle voudrait que les élues soient équitables et votent une période de ‘’7 jours avant et 7 jours après’’ pour les décorations des fêtes de Noel et de l’Halloween.

R : La mairesse Cinq-Mars refuse d’embarquer dans la polémique esthétique des cabanes, des arbres de Noel et des décorations d’Halloween et réitère la volonté des élues de prendre en considérations toutes les interventions à ce sujet.

 

Q7 (58min) La fête des cabanes. L’intervenante demande aussi ‘’ 7 jours avant et 7 jours après’’ prétextant que les familles ont besoin de ce temps pour la préparation de la fête.

R : La mairesse Cinq-Mars remercie la citoyenne de son intervention.

 

Q8 (59min) : Pétition de Projet Montréal. Le citoyen informe qu’un appel à signer une pétition a été fait par quelqu’un qui travaille à Projet Montréal et, selon lui, ladite pétition comprend quelques allégations. Par exemple, il est dit ‘’ que l’arrondissement veut restreindre le temps alloué à la fête des cabanes’’ alors que le citoyen a toujours compris que la modification du règlement voulait simplement dater dans le temps l’avant et l’après fête.

R : La mairesse Cinq-Mars refile la réponse à la conseillère Forget.

R : La conseillère Forget réplique au citoyen qu’il a très bien compris la modification demandée.

Q8 : Une autre information sur le document allèguerait que les élues sauraient pertinemment que ‘’3 jours avant/3 jours après’’ ne donneraient pas assez de temps aux hassidim de faire leur fête mais que ces dernières iraient de l’avant quand même.

R : La mairesse Cinq-Mars avise le citoyen que son intervention ne respecte pas le règlement qui régit la réunion du conseil, à savoir un préambule sur un seul sujet, une question principale et une question corolaire.

Q8 : Le citoyen demande donc à la mairesse si elle savait pertinemment que la solution du 3 jours ne donne pas le temps aux hassidim de fêter.

R : La conseillère Pollak répond que oui, les conseillères ont été averties par l’administration que la solution du 3 jours n’est pas applicable, ni gérable. Elle affirme aussi que ladite pétition est une initiative citoyenne et n’a rien à voir avec Projet Montréal.

Q8 : Le citoyen demande ce que c’est exactement ‘’une coordinatrice de l’Association Locale du parti Projet Montréal ‘’.

(N.D.L.R. Silence éloquent de la part de la conseillère Pollak.)

R : La conseillère Forget tient à se distancer du discours de la conseillère Pollak. Alors que  l’administration a soumis une proposition de 7 jours aux élues, cela ne veut pas dire que les élues doivent l’accepter. Elle précise que les élues sont en lien direct avec les citoyens qu’elles représentent et que l’administration ne jouit pas de ce lien privilégié. La solution du 3 jours n’aurait jamais été envisagée si elle avait représentée des inconvénients majeurs pour les gens concernés.

R : La conseillère Gremaud remercie le citoyen de l’avoir avertie d’une pétition de Projet Montréal et admet qu’elle aurait préféré en entendre parler par sa collègue.

Q8 : A la demande de la conseillère Pollak, le citoyen donne le nom de la coordinatrice de l’association locale Projet Montréal qui a incité les gens à signer la dite pétition.

Q9 (1hre 8min 45sec) : Bixis Montréal. Au printemps, le maire Coderre  a affirmé que la survie du Bixi était conditionnelle à l’amour et à l’appui des usagers pour ce libre-service. Compte tenu que ces vélos contribuent grandement au transport actif, le citoyen veut savoir si les élues seraient prêtes à prendre la défense du Bixi dans la mesure où l’organisation serait bien gérée.

R : La mairesse Cinq-Mars affirme vouloir supporter Bixi.

R : La conseillère Gremaud abonde dans le même sens.

R : La mairesse rajoute que c’était une des belles réalisations de l’anciennes administration.

(N.D.L.R. Aucun appui de la conseillère Pollack qui pourtant porte 2 chapeaux : responsable des dossiers du transport actif depuis janvier 2014 et membre de Projet Montréal, fou du vélo).

 

Q10 (1hre 10min 10sec) : Les autobus scolaires. L’intervenant croit comprendre que le prochain sujet à l’agenda des élues sera le trop grand nombre d’autobus scolaires hassidiques ainsi que la cueillette du porte-à-porte. Selon lui, ce dossier est entre les mains de la conseillère Forget et il espère que ça ne deviendra pas un sujet politique.

R : La question n’étant pas claire, la conseillère Forget demande si le citoyen veut savoir si elle est pour ou contre les autobus scolaires.

Q9 : Le citoyen demande si ce dossier deviendra un sujet politique et intime à la conseillère de répondre par oui ou par non.

R : La conseillère Forget fait remarquer qu’on ne lui dictera pas comment répondre. Elle affirme qu’il y a une surcharge d’autobus dans les rues résidentielles et qu’il y a des plaintes à ce sujet depuis plus de 10 ans. Elle est en attente d’un rapport à ce sujet qui devrait être remis aux conseillères prochainement, tel qu’annoncé par Normand Proulx, d.a., au dernier Conseil. (Q1)

Q10 : Le citoyen continue en parlant des autobus à la fête de la Pourim, des amplificateurs défendus dans les parades hassidiques, du stationnement lors de leurs fêtes religieuses, de la fête des cabanes pour terminer avec la fête de la crémation du pain.

 (N.D.L.R. La mairesse Cinq-Mars n’a jamais interrompu le citoyen, elle a écouté son discours religieusement jusqu’à la fin et s’est même donné la peine de répondre sur chacun des sujets).

 

Q11 (1hre 20min 25sec): Circulation de fausses informations et libre circulation d’opinions sans intimidation. La citoyenne relève qu’une pétition circule (voir intervention Q8 citée plus haut) mentionnant que le conseil voulait règlementer les fêtes hassidiques alors que la consultation publique avait pour but de règlementer la période d’installation de l’usage provisoire d’un bâtiment temporaire en dehors de la période de la fête des cabanes. Elle espère que la mairesse ne tiendra pas compte d’une pétition signée par des citoyens qui ont été manipulés par de fausses informations.

Q11 : La citoyenne est choquée par l’agression vécue et relatée par une citoyenne ce soir (voir Q2). Elle mentionne qu’une résidente est venue témoigner, au conseil de juin 2007, de l’intimidation dont elle a été victime de la part de certains hassidim et elle reparle aussi de l’agression verbale dont la conseillère Forget a fait l’objet le 8 mars 2012. La citoyenne espère que la conseillère Pollak va demander aux agresseurs hassidiques de présenter des excuses publiques à la victime.

R : La conseillère Pollak dit qu’une citoyenne, coordinatrice de quelque chose, a le droit de mettre en ligne une pétition et qu’une pétition Projet doit être sur le site officiel de Projet Montréal.

Q11 : La citoyenne répond que cette personne a été nommé officiellement coordinatrice de l’association locale de Projet Montréal à Outremont et donc, qu’il y a une forte relation entre elle et le parti.

(N.D.L.R. le document intitulé « Pétition pour les résidents d’Outremont » ne porte pas le logo de Projet Montréal).

 

Q12 (1hre 25min 55sec). Consultation publique sur les cabanes. La citoyenne déplore l’intimidation dont a été victime une citoyenne et informe qu’elle n’est plus membre de Projet Montréal depuis 18 mois car le parti l’a déçue et qu’elle n’est pas la coordinatrice locale de Projet Montréal. La citoyenne dit que le contentieux de la ville de Montréal est favorable à la proposition « 7 jours » et demande si cet avis sera rendu public.

R : Normand Proulx répond que cet avis fait partie du sommaire décisionnel disponible sur le site.

R : La conseillère Forget est surprise d’apprendre que les sommaires décisionnels sont disponibles sur le site arguant qu’il y a fort longtemps qu’elle en fait la demande.

R : Normand Proulx avoue qu’il a fait une erreur mais qu’il peut rendre disponible le dit sommaire.

(N.D.L.R. La citoyenne n’a jamais nié qu’elle avait été nommée coordinatrice de l’Association locale de Projet Montréal).

 

Q13 (1hre 32min 20sec) : La fête des cabanes. Le citoyen relate son arrivée à Outremont et fait remarquer que les hassidim ont perdu certains privilèges alors que la ville, dans les années ’70, devenait de plus en plus francophone. Il reproche à l’administration d’organiser des activités sociales le samedi, comme la kermesse, alors qu’ils ne peuvent y participer pour cause de sabbat. Le citoyen considère que la communauté hassidique jouissant de droits acquis a le droit de pratiquer sa religion sans aucune restriction et que les élues font preuve d’intolérance qui pourrait mener à des situations conflictuelles. L’intervenant insiste sur le fait que sa communauté ne fait pas dans la drogue, ni dans la violence.

R : La mairesse Cinq-Mars répète qu’elle espère que les conseillères vont mettre sur pied un comité pour une meilleure communication.

Q13 : Le citoyen ajoute que l’ancien maire Tremblay est son voisin et qu’ils ont de bonnes relations.

 

Q14 (1hre 38min 50sec) : Éclairage de rue. La citoyenne mentionne que l’arrondissement a fait beaucoup pour contrer la vitesse dans les rues par des dos d’âne et en abaissant la limite à 30km. Elle déplore l’éclairage déficient dans certaines rues résidentielles.

R : La mairesse Cinq-Mars veut savoir si la citoyenne se plaint de lampadaires qui font défaut.

Q14 : La citoyenne se plaint qu’il y a des lampadaires uniquement sur un côté de la rue.

R : La mairesse Cinq-Mars assure qu’elle va en discuter avec le directeur des travaux publics.

R : La conseillère Pollak informe qu’il y a des problèmes avec l’état des vieux lampadaires.

 

Q15 (1hre 43min 05sec) : Aménagement de la place Marcelle Ferron. Le citoyen fait remarquer qu’il a déjà organisé des activités le samedi sur cette place et que des familles hassidiques étaient venues y participer. Il déplore l’état lamentable des dormants et demande si pour les 375 ans de Montréal, l’arrondissement avait prévu des budgets pour certains projets émanant de la communauté.

R : La mairesse Cinq-Mars répond que les dormants seront réparés au printemps et que le support à vélos est très mal placé, les citoyens ne le voyant pas.

Q15 : L’intervenant informe que les Amis de la Place Marcelle Ferron vont déposer un projet de réaménagement pour la place afin d’en faire un lieu d’animation culturelle pour la population. Le citoyen demande si l’arrondissement fait quelque chose pour les 375 ans.

R : La mairesse Cinq-Mars dit qu’il y a un budget de la ville centre voué aux arrondissements.

R : La conseillère Gremaud félicite le citoyen pour son implication sociale et demande à recevoir ses idées de projets.

R : La conseillère Forget demande à combien se chiffre le budget pour la fête du 375ème.

R : La mairesse Cinq-Mars avoue ne pas connaître le montant et invite les citoyens à déposer leurs projets mais elle n’en sait pas plus.

Q15 : Le citoyen informe que la date limite de dépôt de projets est le 19 décembre.

R : La conseillère Forget demande à ce que ses consœurs et elle-même soient informées des détails pour le 375ème.