Conseil du 1er juin 2015 – résumé de la période de questions

Conseil du 1er juin 2015 – résumé de la période de questions

Pour ceux et celles qui préfèrent un résumé plutôt que de visionner le Conseil en direct, en voici un préparé par Mariclaude Ouimet qui couvre la période de questions. Les minutes apparaissant au début de chaque question réfèrent à la vidéo du Conseil en direct pour référence. Assistance : 46. Intervenants : 21. Durée : 1hres 49min

Questions regroupées par sujet :

  1. Dérogations mineures sur une résidence de Maplewood  (5 questions)
  2. Heures d’utilisation des souffleurs à feuilles
  3. Thermopompe bruyante à l’école juive Beth Jacob sur Glendale (2 questions)
  4. École hassidique illégale au 845 Querbes et autobus scolaires
  5. Projet de coop Le Suroit (6 questions)
  6. Stationnement rue Durocher et Querbes (2 questions)
  7. Performance artistique à l’église St-Viateur
  8. Voitures en auto-partage
  9. Chiens en laisse dans les parcs
  10. Glissoire hors service au parc Kennedy

1.     Dérogations mineures sur une résidence de Maplewood : 5 questions

Q1 (14min 50sec) : Le citoyen, qui est venu le mois dernier, craint que les dérogations ne fassent baisser la valeur de sa propriété. (Q2). Selon lui, il y aurait comme un vice caché dans toute la procédure et une dizaine de points serait encore à discuter et à clarifier.

R : La conseillère Gremaud spécifie que le conseil doit se prononcer uniquement sur un plan d’intégration architecturale et non pas sur la ligne de lot ou de partage, ce que les conseillères ne sont pas habilitées à faire.

Q2 (24min 50sec) : Le citoyen croît que ce projet ne correspond pas à la sauvegarde du patrimoine. Il ajoute qu’une erreur du passé ne doit pas perdurer et surtout, ne doit pas être entériné par le conseil.

R : La mairesse Cinq-Mars affirme que le propriétaire a le droit de demander une dérogation et que le conseil se doit de voter, soit en acceptant ou en refusant.

Q3 (28min 50sec) : La citoyenne considère que ce projet est beaucoup trop ambitieux pour un petit lopin et qu’il n’y a aucun respect des marges latérales et des marges de recul. Elle est contre le mur qui devra être érigé afin de cacher la piscine.

Q4 (31min 53sec) : Le citoyen se questionne sur les principes qui régissent toute rénovation touchant les maisons patrimoniales et l’environnement. Il ajoute aussi qu’un système de vignettes pour le stationnement serait le bienvenu.

R : La mairesse Cinq-Mars demande qu’une demande écrite et signée par plusieurs résidents soit envoyée à la conseillère Forget pour les vignettes.

R : La conseillère Forget informe que la conseillère Potvin a rencontré les citoyens de son district à cet effet.

Q5 : (33min 45sec) : Le propriétaire tient à éclaircir certains points sur son projet qui a été conçu par une firme d’architecte reconnue. Il affirme s’être plié à toutes les exigences demandées et déclare être victime de préjudices pécuniaires découlant de la lenteur de la prise de décision dans un dossier qui a pourtant reçu l’aval du comité d’urbanisme.

R : La mairesse Cinq-mars affirme qu’il y aura vote ce soir sur ce projet.

 

2.     Heures d’utilisation des souffleurs à feuilles : 1 question

Q6 (37min 42sec) : L’intervenant mentionne qu’à l’ordre du jour, il est question de changer l’heure d’utilisation des souffleurs qui passerait de 9h00 à 8h00 pendant la semaine. Il veut savoir si c’est déjà fait.

R : La mairesse Cinq-Mars fait remarquer que les cols bleus arrivant à 6h30, il est difficile de défendre l’utilisation des souffleurs avant 9h00 et mentionne que la conseillère Forget a eu la brillante idée d’exiger que lesdits souffleurs soient munis de ‘’silencieux’’. Elle ajoute qu’elle ne peut garantir le consensus pour le 8h00, certaines conseillères préférant le 8h30.

 

3.     Thermopompe bruyante à l’école juive Beth Jacob sur Glendale : 2 questions

Q10 (59min 32sec) : La citoyenne vit sur la rue du Manoir et a commencé à porter plainte en 2009 pour le bruit considérable causé par d’immenses thermopompes installées (sans permis) sur le toit de l’école. Suite à ses nombreuses plaintes, l’école a été obligée de faire installer des écrans acoustiques qui n’ont eu aucun effet sur l’ampleur du bruit. La citoyenne se plaint d’une perte de qualité de vie importante (réveil la nuit et impossibilité de jouir de sa terrasse). Elle déplore surtout qu’aucun suivi ne soit fait par les inspecteurs malgré les  nombreuses interventions de la sécurité publique.

R : Pierre Chapuis (directeur urbanisme) affirme connaître le dossier et avoir émis des constats tout en spécifiant que ce n’est facile d’interagir avec la direction de cette école. Il dit qu’il va repartir le processus car le problème est récurrent, quitte à demander au conseil une injonction.

R : La conseillère Gremaud, habitant non loin de là, comprend parfaitement l’ampleur du problème. Elle comprend moins bien que rien ne soit réglé dans ce dossier depuis toutes ces années et s’engage à s’en occuper personnellement.

Q10 : La citoyenne demande à ce qu’on la tienne au courant des procédures qui seront entamées. Elle ajoute que la direction de l’école refuse tout dialogue et attend toujours la punition ou le bâton pour réagir.

R : La mairesse Cinq-Mars répond immédiatement qu’il ne faut pas exagérer et qu’il ne faut pas critiquer son voisin.

Q11 (1hre 05min 43sec) : Le citoyen a lui aussi vu sa qualité de vie diminuer depuis l’achat de sa demeure sur la rue du Manoir en 2009. Il est heureux d’apprendre ce soir que des choses vont être faites et il veut savoir dans combien de temps.

R : Pierre Chapuis répond qu’il va faire le nécessaire même si ce n’est pas facile et excuse la lenteur des procédures en spécifiant que la cour municipale a ses propres priorités.

Q11 : Le citoyen aimerait savoir et comprendre ce qui n’est pas facile.

R : Pierre Chapuis répond qu’il ne peut pas en parler car il doit préparer un rapport pour la mairesse.

R : La conseillère Forget demande à ce que toutes les élues soient tenues au courant de ce dossier et insiste pour recevoir la documentation pertinente.

 

4.     École hassidique illégale au 845 Querbes : 1 question

Q20 (1hre 57min 54sec) : La citoyenne fait référence à un reportage de TVA en mai dernier sur la possibilité d’une autre école illégale hassidique au 2ième étage du 845 Querbes. La citoyenne demande ce que l’arrondissement a fait dans ce dossier.

R : Pierre Chapuis affirme qu’il a demandé aux gens de quitter, qu’il a préparé une émission de constat et si les gens ne quittent pas dans les jours suivants, il va procéder. Il ajoute que ce n’est pas une école au 2ème étage et que selon sa compréhension, c’est une garderie d’après ce qu’on lui dit.

Q20 : La citoyenne rétorque que selon les photos qu’elle a vues dans le reportage, les enfants lui apparaissent quelque peu âgés et grands pour fréquenter une garderie (rires dans la salle). Elle demande aussi à ce qu’un règlement soit passé pour défendre la circulation d’autobus scolaires hassidiques le soir dans les rues résidentielles, autobus qu’elle qualifie de particulièrement bruyants et désagréables à 22h00.

R : La mairesse Cinq-Mars répond qu’elle va mandater M. Proulx pour demander un avis juridique pour savoir si c’est possible.

R : La conseillère Forget ajoute que même si c’est une garderie pour enfants un peu plus âgés au 2ième étage, il y a un problème car le permis de garderie accordé par l’arrondissement était uniquement pour le rez-de-chaussée et n’est pas valide pour le 2ème étage.

 

5.     Projet de coop Le Suroit : 6 questions

Q7 (40min 05sec) : Le citoyen rappelle que le 4 mai dernier, les conseillères ont voté à l’unanimité pour céder le terrain Manseau à la coop sous 3 conditions pertinentes : sauvegarde du boisé Manseau sous sa forme actuelle, bande verte de 8.5 mètres entre les immeubles et privilégier les unités familiales de petite taille pour les familles monoparentales et les personnes seules. Le citoyen se questionne sur le droit de véto dont la mairesse a usé dans ce dossier puisque les 3 conditions imposées le sont pour le bien-être de tous les partis concernés et de l’arrondissement.

R : La mairesse Cinq-Mars affirme qu’elle a exercé son droit de véto afin de vérifier si le projet était viable avec les conditions susmentionnées et a donc demandé une expertise du bureau de l’habitation. Ce dernier affirme que l’élargissement de la bande verte de 6 à 8.5 mètres entre les immeubles ferait passer de 41 à 18 le nombre de logements et que les unités de plusieurs chambres seraient diminuées et donc, que le projet ne serait pas viable.

R : La conseillère Forget précise que le document dont la mairesse a fait la lecture est un document qui n’est pas signé.

Q12 (1hre 07min 56sec) : L’intervenant, président de la coop, affirme avoir été mécontent de la résolution votée le 4 mai dernier rendant son projet peu viable économiquement. Il affirme aussi qu’il a toujours eu l’information que les arbres du boisé Manseau allaient être coupés. Il demande si les conseillères étaient au courant de l’impact de leurs 3 conditions sur le projet.

R : La conseillère Gremaud rappelle que les amendements du 4 mai ont été votés à l’unanimité par les 4 conseillères.

R : La conseillère Pollak affirme avoir reçu les amendements le soir même du conseil et qu’elle n’avait pas l’opportunité de savoir si cela allait ‘’ impacter ‘’ le projet.

R : La conseillère Forget répond que, selon elle, le conseil doit voir à l’intérêt public, et par la résolution, les conseillères ont donné une vision de ce qu’elles voulaient sur ce terrain. Elle ajoute qu’elle ne croit pas que c’est le gestionnaire de la coop qui doit venir imposer sa vision au conseil. Les conseillères ont dit oui à ce projet et ont défini, à partir des statistiques, quelles groupes de la population d’Outremont étaient le plus dans le besoin et avait besoin de ces logements.

Q12 : L’intervenant affirme que prioriser des petites unités familiales ne respecte pas la charte des droits et liberté et la charte de la ville de Montréal.

R : La mairesse Cinq-Mars constate que le projet ne fait pas l’unanimité et déplore le fait que l’une des conditions soit discriminatoire en priorisant les petites familles.

R : La conseillère Forget spécifie qu’on parle de favoriser les petites unités et qu’elle voudrait bien savoir en quoi cette condition enfreint la charte. Elle ajoute que l’amendement est conforme aux besoins de l’arrondissement et rejoint ce qui se fait dans les autres arrondissements.

(N.D.L.R. L’intervenant ne cessant de discuter et la mairesse aurait dû normalement arrêter le débat. Malheureusement, la mairesse use de ce pouvoir uniquement lorsque cela lui convient).

R : La conseillère Gremaud précise que l’amendement parle de privilégier les unités de petite taille car dans Outremont, les familles à faible revenu sont surtout des familles monoparentales et les personnes seules. Il n’y a pas de discrimination et en privilégiant les petites unités, il peut y en avoir plus. La conseillère ajoute aussi qu’elle n’a pas saisi qu’on puisse passer de 40 à 18 logements aussi vite.

(N.D.L.R. La dernière interrogation personnelle de la conseillère Gremaud ne lui plaisant guère, la mairesse coupe la conversation, remercie l’intervenant et on passe au suivant !)

Q13 (1hre 19min 48sec) : L’intervenante agit comme porte-parole de la fédération des coopératives d’habitation inter-municipales du Montréal Métropolitain et affirme être mandatée par son C.A. afin d’appuyer publiquement la coop le Suroit. Elle demande aux élues pourquoi elles semblent s’opposer au projet en multipliant des conditions arbitraires au lieu de le soutenir.

R : La mairesse Cinq-Mars répond qu’elle aurait aimé une réponse claire de la part du conseil et affirme que personnellement, elle appuie le projet.

Q14 (1hre 24min 05sec) : Le citoyen fait référence à ses interventions en octobre 2014 (Q7) et mai 2015 (Q9 ). Selon le citoyen et preuves à l’appui, le terrain et les arbres du boisé Manseau sont en bonne santé et se trouvent au sud de la voie ferrée: il veut donc savoir si la mairesse va respecter son engagement de préserver le boisé.

R : La mairesse Cinq-Mars répond qu’elle va respecter son engagement mais qu’on l’a informé il y a quelques mois ou quelques années que le chemin linéaire qui remplacera la voie ferrée devra subir une certaine décontamination. Elle ne sait pas où ce projet en est rendu aujourd’hui. La mairesse demande à Normand Proulx d’obtenir une réponse claire à ce sujet.

(N.D.L.R. La mairesse s’était déjà engagée le mois dernier à s’informer à ce sujet)

Q17 (1hre 38min 18sec) : Selon le citoyen, les besoins en logements sociaux sont éminemment respectables, les moyens pour s’y rendre en ce qui a trait à la coop du Suroit sont contestables. Les protagonistes de la coop ont engagé des architectes et investi de l’argent avant même d’avoir accès à un terrain. Le citoyen demande au directeur d’arrondissement quel est le montant réel des deniers publics qui ont été avancé dans ce projet.

R : Normand Proulx répond qu’il ne détient pas cette information.

Q17 : Le citoyen s’étonne de l’ignorance de Normand Proulx car selon lui, ce dernier est le promoteur du Suroit au sein de l’administration et qu’il devrait donc avoir accès à cette information.

R : La mairesse Cinq-Mars répond que Normand Proulx affirme qu’il y a erreur, qu’il n’est pas le promoteur de ce projet.

Q17 : Le citoyen rétorque que le directeur d’arrondissement est le champion de la cause au sein de l’administration et que c’est une évidence.

R : La mairesse Cinq-Mars affirme que ce dernier, au meilleur de sa connaissance, fera des recherches pour connaître les montants avancés.

R : La conseillère Gremaud affirme que les toutes les élues connaissent la réponse mais qu’elle ne sait pas si elle a le droit de divulguer publiquement cette information.

(N.D.L.R. Il est clair que la mairesse Cinq-Mars n’apprécie guère la franchise de la conseillère).

Q17 : Le citoyen affirme que des architectes auraient avancé le montant de 180,000 $ à 220,000 $ ce qui représente 10 à 12 fois plus que la somme prévue pour un prêt de démarrage  Accès-logis. Le citoyen ajoute que l’avis émis et non signé émanant de la direction de l’habitation est peut-être en conflit d’intérêt compte tenu des montants dépensés par leur bureau.

R : La mairesse Cinq-Mars invite le citoyen à la prudence considérant que ses propos frisent les allégations.

Q17 : Le citoyen fait remarquer à la mairesse que depuis 18 mois, elle a demandé plusieurs avis un peu partout mais a-t-elle pensé un seul instant à demander l’avis des riverains immédiats sur l’impact de ce projet dans leur vie ?

R : La mairesse Cinq-Mars répond qu’elle entend le citoyen mais qu’elle s’était uniquement engagée à donner une réponse au projet du Suroit et qu’elle a droit à son opinion.

Q19 (1hre 53min 40sec) : Le citoyen affirme avoir été très surpris d’apprendre qu’un immeuble ne respectant pas les standards architecturaux d’Outremont allait être construit très près du sien. Il constate qu’il y aura des conséquences néfastes sur les points suivants: le bruit, l’ensoleillement, la vie privée et la qualité de vie.

(N.D.L.R. La mairesse Cinq-Mars, d’un ton pressant, intime le citoyen à poser sa question).

Q19 : Le citoyen demande si dans l’avis du bureau de l’habitation, il est question de la dimension du terrain en tant que surface habitable si la résolution était adoptée avec les amendements.

R : La mairesse Cinq-Mars refile la question au directeur d’arrondissement qui ne peut y répondre précisant que c’était une analyse d’impact général.

Q19 : Le citoyen rétorque qu’on parle de 1,500 mètres carré de surface habitable. Au 950 Champagneur, on parle de 1,800 mètres carré avec 44 unités d’habitation. Le citoyen met donc en doute un avis qui fait état d’une possibilité de seulement 18 logements.

 

6.     Stationnement rue Durocher et Querbes : 2 questions

Q8 : (49min 58sec) : La citoyenne a initié en 2013 le projet de stationnement sur les 2 côtés de la rue Durocher, entre Bernard et St-Viateur. Une pétition de citoyens a été remise et a reçu une réponse négative de la part de Hadi Hakim (directeur des travaux publics). Une demande d’explications a été faite à ce dernier en mai 2014 dont elle attend toujours une réponse officielle.

R : La conseillère Forget explique que le dossier est en attente parce que le comité de circulation et stationnement révise la politique des vignettes.

Q8 : La citoyenne demande que le tronçon de rue cité soit assujetti aux vignettes affirmant que la rue Querbes, ou il y a des sections ouvertes à tous, sert de stationnement aux gens de la rue Parc.

Q9 (55min 27sec) : Le citoyen affirme qu’ils ont perdu plusieurs places de stationnement surtout lorsqu‘il y a des fêtes juives et que les invités de New-York occupent une bonne partie de la rue.

R : La conseillère Forget informe que les invités de l’extérieur n’ont pas le droit de stationner dans les zones de résidents et rappelle qu’un jugement municipal a statué sur le fait que le stationnement ne fait pas partie de la définition d’accommodement religieux. Elle ajoute qu’en ouvrant le stationnement des 2 côtés sur la rue Durocher, il devrait y avoir moins de problème. Il reste à définir l’implantation des vignettes selon la politique à venir en tenant compte des commentaires reçus.

 

7.     Performance artistique à l’église St-Viateur : 1 question

Q15 (1hre 27min 14sec) : La citoyenne est chorégraphe et interprète en danse contemporaine et écrit une performance inspirée des communautés vivant près de l’église St-Viateur. Ce projet sera présenté à l’église fin juillet. La citoyenne veut savoir si l’arrondissement soutient les projets qui visent à dynamiser les relations intercommunautaires et si oui, comment.

R : La conseillère Gremaud, fort enthousiaste, répond que oui, l’arrondissement appuie ce genre d’initiative culturelle.

R : Michel Allen, directeur des loisirs, demande à rencontrer la citoyenne pour régler le ‘’ comment ‘’.

 

8.     Voitures en auto-partage : 1 question

Q16 (1hre 30min 35sec) : Le citoyen affirme ne plus avoir de voiture et être abonné à Car2Go et à Auto-Mobile. Selon lui, offrir des stationnements partout à ces 2 services serait un geste positif puisque les gens se départiraient alors de leurs voitures personnelles. Il avance qu’Outremont est le seul arrondissement à défendre l’accès des stationnements réservés avec vignettes à Car2Go et à Auto-Mobile et de ce fait, se prive de revenus puisque ces services sont prêts à payer pour ce privilège.

R : La mairesse Cinq-Mars se dit intéressée par la proposition du citoyen et informe que les élues attendaient les recommandations de l’Office de la consultation publique avant de se prononcer. Elle propose au citoyen de poser sa candidature pour le comité de transport actif présidé par la conseillère Pollak.

R : La conseillère Forget salue l’initiative de Communauto de s’être implantés dans les secteurs ou il n’y a pas de vignette, soit de l’avenue Pratt à Outremont. Elle informe que le comité stationnement est ouvert à rendre disponible les espaces de stationnements limités à 2hres aux voitures d’auto-partage. Il y a aussi dans l’arrondissement des zones ouvertes à tous qui pourraient être offerte par les compagnies à leurs usagers. Elle ajoute que la mise en place de ce projet doit inclure une adaptation des services d’auto-partage à la réalité de l’arrondissement et non pas seulement des concessions de l’arrondissement et des citoyens qui ont une voiture.

 

9.     Chiens en laisse dans les parcs : 1 question

Q18 (1hre 47min 35sec) : Le citoyen habite les Terrasses Haut-Villiers et affirme avoir des problèmes avec les propriétaires de chiens qui ne contrôlent pas leurs bêtes et qui ne ramassent pas leurs défécations. Il s’inquiète de savoir que les chiens pourront se promener bientôt dans les parcs surtout qu’il n’y a plus de gardien pour surveiller.

R : La mairesse Cinq-Mars répond que personnellement, elle est contre ce projet.

R : La conseillère Gremaud est désolée du comportement des voisins du citoyen, comportement qu’elle qualifie de plutôt rare. A ses yeux, les outremontais sont très disciplinés et considèrent que les rues sont très propres. Elle spécifie qu’il n’est pas question dans le règlement de jouer au frisbee avec le chien dans le parc, mais simplement d’emprunter les allées asphaltées avec le chien en laisse.

R : La conseillère Pollak, tout comme la mairesse, est aussi contre cette proposition craignant un ‘’free for all’’ et ajoutant qu’il y a toujours des gens qui ne respectent pas les règlements.

 

10.  Glissoire hors service au parc Kennedy : 1 question

Q21 (2hres 01min 20sec) : Le citoyen mentionne que la glissoire est brisée depuis octobre 2014 et demande quand elle sera utilisable.

R : La conseillère Forget informe que la compagnie a été contactée et que la réparation se fera  dans les prochaines 4 à 6 semaines.

Q21 : Le citoyen demande aussi à ce que le boisé Manseau soit nettoyé.

 

PÉRIODE DE QUESTIONS DES MEMBRES DU CONSEIL

Q1 (2hres 10min 40sec) : La conseillère Forget demande un suivi sur la question d’une citoyenne qui était venu, il y a plus d’un an, demander au Conseil de gérer par règlement le creusage de sous-sols. L’arrondissement avait répondu par l’affirmative, mais rien n’est venu au Conseil depuis.

R : Pierre Chapuis affirme qu’il devrait accoucher de quelque chose très prochainement.

(N.D.L.R. Exactement la réponse qui a été donné le 03.03.14 et le 02.09.14!!)  (Q13) et (Q3)