Quand liberté et indépendance vont de pair
Publié sous : Démocratie, Gare de triage le
C’est ainsi que monsieur Rémi Aboussouan du Point d’Outremont a intitulé son entrevue dans l’édition du 9 octobre. Vous pouvez télécharger l’édition en cliquant ici (3,9 megs). Et en voici quelques extraits :
Céline Forget adore la politique municipale. Depuis 1997, elle suit de très près tous les dossiers chauds qui touchent Outremont. «Ce qui me passionna, c’est le contact avec les gens, c’est la dynamique de quartier, explique-t-elle d’emblée. Je trouve qu’au municipal, les dossiers sur lesquels on travaille font une énorme différence, dans notre vie de tous les jours.»
Madame Forget est la dernière candidate d’opposition à avoir été élue, dans Outremont. Depuis 2002, le conseil est formé exclusivement par l’équipe du maire Tremblay. «Il faut de l’opposition dans un conseil, ça c’est sûr. C’est une bouée pour les citoyens, qui n’ont aucun recours, sinon.»
«Pour moi, l’important c’est que je n’ai aucune ligne de parti à suivre. Ce que je veux, c’est défendre les intérêts de mon quartier, pas ceux d’un quelconque parti.» À cet effet, elle donne l’exemple de la cour de triage, l’un des enjeux majeurs de la campagne. «Si c’est Claude Piquette ou Louise Gagné qui est élu, ils n’auront d’autre choix que de se plier à la volonté de Gérald Tremblay ou de Louise Harel. Même si ce n’est pas nécessairement dans les intérêts des Outremontais.»
Il ne nous reste plus qu’à vous souhaiter bonne lecture.